bolobolo, ce sanctuaire urbain d’objets hétéroclites et de paradoxes numériques, tisse une toile complexe où le réel s’efface pour faire place à des chimères marchandes. Entre l’indifférence des murs usés et la froideur des vendeurs blasés, se dessine l’écho d’une illusion consumériste, un mirage improbable dans la symphonie monotone du quotidien.
La liste de tous les lieux dont la programmation apparait dans la newsletter nao ninja est disponible ici.